LES PROJECTIONS DU SAMEDI
15h40 : Teaser Fête de l’humanité Paris 2025
16h : Le chant des sardinières
avec Nina Montagné
14h15 : « La résistante et l’enfant »
Docu de Jean BARAT + Débat avec Jean Golgévit
Hiver 1924. Pendant plus de six semaines, deux mille ouvrières des conserveries de sardines de Douarnenez vont se mettre en grève, pour réclamer une augmentation de salaire. Une épopée sociale et victorieuse, qui marque l’histoire et l’âme de la ville. En 2024, cent ans après, quelle empreinte cette grève a-t-elle laissée à Douarnenez ?
La résistante, c’est Eva Golgevit*, du groupe Solidarité de la section juive de la M.O.I (Main-d’oeuvre Immigrée), +mouvement de résistance communiste - l’enfant, c’est Jean*, son fils qu’elle cache après avoir réchappé à la Rafle du Vel d’Hiv. Pilier de la Chorale populaire juive, la poésie et le chant étaient pour Eva Golgevit l’expression de sa lutte contre la barbarie avec l’espoir dans un monde meilleur qui verrait le jour après la guerre. Dans l’enfer d’Auschwitz, elle chantait pour ses camarades. Ce film entrecroise le témoignage filmé dans les années 2000 d’Eva qui livre un récit passionnant sur l’avant-guerre de Varsovie à Paris, la résistance dans les rangs de la résistance communiste, son arrestation, Auschwitz, le Block 10*, Birkenau… avec celui de son fils, Jean, qui raconte, la séparation, sa survie, les retrouvailles et un lien indéfectible qui l’unissait à sa mère : le chant yiddish.
17h30 : « Marguerite »
de Marine Marguerite SAGE
16h45 : Chaluts en périls de Mathurin Peschet
+ débat avec Maxime Delisle auteur BD " On a mangé la mer "
Le court-métrage documentaire réalisé par Marine Sage s'intitule "Marguerite" et a été présenté au premier Festival de Courts Féministe de la Maison des Femmes de Montreuil en 2021 (
"Marguerite, c'est le prénom de mes deux arrière-grand-mères, dont j'ai hérité. Ce film est une balade, guidée par les voix d'autres femmes de ma famille, pour parcourir leurs histoires, ce qui m'est parvenu, ce qui m'y relie".
En Bretagne, des scientifiques, des aventuriers, des sportifs, des artistes, des entrepreneurs, des gens de mer tout court… ont le cœur qui s'anime pour une vie au bord de l'océan. Ils sont viscéralement attachés à l'endroit où ils ont choisi de se poser après plusieurs années de voyage. Ces personnalités vont raconter leur métier, faire le récit de leurs aventures, décrire ce qui les anime en dialoguant avec l'un des trois présentateurs du magazine qui est lui-même impliqué ou qui dispose d'une expérience et de connaissances dans le domaine maritime.
LES PROJECTIONS DU DIMANCHE
10H45 et 13h45 : Teaser Fête de l’humanité Paris 2025
11h : Les Antilles empoisonnées
La banane et le chlordécone de Nicolas Glimois avec l’association MNLE
14h : ACTIONAID
Film sur la paysannerie coopérative de bananes et autres productions à comparer avec l’agriculture intensive et mondialisée des grands groupes agro-alimentaires
14h50 : Manger pour vivre
de Valérie Simonet
avec l'association MNLE
14h30 : « Marguerite »
de Marine Marguerite SAGE
Manger pour vivre : une évidence ? En 2025 en France, une personne sur dix a pourtant des difficultés chaque jour pour se nourrir. C'est trois fois plus qu'il y a 10 ans. L'aide alimentaire d'urgence, propulsée par Coluche il y a 40 ans avec les Restos du coeur, s'est installée dans le paysage. Mais elle finit par être débordée par le phénomène. Comment rester spectateur face à une telle situation qui se dégrade ? À Montpellier, un collectif d'associations a lancé une expérimentation pionnière et grandeur nature de ce que pourrait être une Sécurité sociale de l'alimentation. La Caisse alimentaire commune rassemble 400 personnes qui cotisent à la hauteur de leurs moyens et qui reçoivent toutes la même somme pour se nourrir sainement. À travers quatre portraits sensibles, le film propose une réflexion sur le droit à l'alimentation pour tous.
Le court-métrage documentaire réalisé par Marine Sage s'intitule "Marguerite" et a été présenté au premier Festival de Courts Féministe de la Maison des Femmes de Montreuil en 2021 (
"Marguerite, c'est le prénom de mes deux arrière-grand-mères, dont j'ai hérité. Ce film est une balade, guidée par les voix d'autres femmes de ma famille, pour parcourir leurs histoires, ce qui m'est parvenu, ce qui m'y relie".
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